On retrouve avec plaisir l'univers du Commonwealth toujours aussi passionnant et bien dépeint. De construction similaire à la trilogie du vide, l'alternance de scènes entre le monde technologique extérieur et le monde médiéval intérieur est ici quelque peu gâchée par quelques longueurs. Les passages sur la mise en place de la révolution sont en effet trop longs et un peu ennuyeux. Toutefois, le tiers final relance très bien l'intérêt et au final cela reste un très bon roman.