De passage à Dublin, un biologiste moléculaire voit sa toute famille tuée par une bombe de l'IRA. Fou de douleur, il décide de se venger des terroristes et de ceux qui les ont engendrés ou les soutiennent. Il crée et répand le virus de la peste blanche.
Une histoire qui pourrait se passer demain. Herbert, comme à son habitude, ouvre de multiples sujets de réflexion, sans donner l'impression d'un but précis. Le récit, qui s'annonçait prometteur, se dilue au fil des pages et j'adhère de moins en moins à la vision que nous propose Herbert. La fin, qui semble ne jamais devoir arriver, paraît bâclée et peu crédible.