Kirth Gersen, ayant liquidé sa première cible, le prince-démon Attel Malagate, dans le tome précédent, s'attaque maintenant à sa proie suivante : Kokor Hekkus
J'ai envie de dire : on prend les mêmes et on recommence. Même héros, même quête. Certes, les péripéties diffèrent, mais la trame est rigoureusement la même. Gersen est encore en proie aux mêmes hésitations répétées (Est-ce lui ? N'est-ce pas lui ? Argh ! Comment savoir ?) et se découvrira encore un flirt. L'univers qui nous entoure est toujours décrit assez précisément, notamment grâce (là encore) aux entêtes de chapitres, mais manque souvent d'originalité. En résumé, ça se lit bien, mais ne soulève pas l'enthousiasme.